A faire – A voir dans ma commune
Découvrez notre sélection de choses à faire ou à voir au sein de notre commune
LES LAVOIRS
Notre village compte deux lavoirs :
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- Rue de la Fontaine
- Rue de la Mairie
Ils ont été restaurés tous les deux en 2021-2022, n’hésitez pas à venir ou revenir les découvrir.
LES LOGES DE VIGNES
Souvigné a longtemps été un village dédié à la vigne (Sous-Vigne). Les cultures que l’on voit aujourd’hui étaient auparavant des parcelles de vignes avec pour chacune d’elle des loges.
De ces loges en subsistent encore quelques unes, notamment à Saint Jacques et à l’Épinay. Un patrimoine à découvrir et à préserver pour conserver l’histoire de Souvigné.
LE CHÂTEAU DE LA ROCHEDAIN
Souvigné (Indre-et-Loire)
Château privé de La Rochedain.
Ce château a été construit de 1907 à 1911 après destruction d’un ancien château entouré de douves et qui aurait été la demeure d’Olivier le Daim.
L’édifice avait été commandé en 1905 à l’architecte Léon Lamaizière et son fils Marcel, par Léon Demogé, le futur président de la Société des Nouvelles Galeries. La première pierre sera posée le 3 avril 1907. Les entrepreneurs de Tours Gorel et Bouillet assureront les travaux. Les Demogé entreront dans les lieux le 31 décembre 1909. Pendant que le président mène “la vie de château”, au sens propre, la vendeuse du Grand Magasin vivait “chambrette”, comme l’écrivait Zola :
“C’était une étroite cellule mansardée, ouvrant sur le toit par une fenêtre à tabatière, meublée d’un petit lit, d’une armoire de noyer, d’une table de toilette et de deux chaises. Vingt chambres pareilles s’alignaient le long d’un corridor de couvent, peint en jaune […] Et, le soir, lorsque Denise monta se coucher, elle s’appuyait aux cloisons de l’étroit corridor, sous le zinc de la toiture. Dans sa chambre, la porte fermée, elle s’abandonna sur le lit, tellement les pieds lui faisaient du mal. Longtemps, elle regarda d’un air hébété la table de toilette, l’armoire, toute cette nudité d’hôtel garni. C’était donc là qu’elle allait vivre ; et sa première journée se creusait, abominable, sans fin.” ( Emile Zola – Au bonheur des dames – 1883)
Les Lamaizières, architectes stéphanois, construiront un tiers des magasins des Nouvelles Galeries, à commencer par la maison mère à Saint-Etienne, au 15 rue Gambetta, inaugurée en avril 1895.
Le parc serait une création du paysagiste de la région Louis Decorges (1872-1940) en collaboration avec son fils René.
Le château aurait accueilli des jeunes filles en pension juste après la guerre et jusque dans les année 60.